Voici donc la bête
Oui, c’est un ordinateur !
comprenant :
Le cœur (le processeur) est un ARM11.
Le disque : une carte mémoire (SD card)
Des connecteurs permettant d’adjoindre ce qui manque.
On ajoute donc principalement :
Une alimentation en 5 volts
Un écran de préférence avec entrée HDMI
Un clavier avec adaptateur USB
Et c’est parti.
Personnellement, j’ai acheté mon RPI avec une carte mémoire
possédant déjà le logiciel nécessaire au démarrage. A savoir que c’est Linux.
Il faut bien découvrir !
La première prise en main est un peu délicate. La télé avec
le VGA ne fait pas vraiment l’affaire pour bien visualiser, mais ça défile.
Donc le RPI est bien vivant.
Après achat d’un écran HDMI, et d’un câble adhoc, l’affichage
est nickel.
Première configuration : première difficulté. Je
dispose d’un petit clavier Logitech avec
‘touchpad’ et configuration ‘azerty’, mais impossibilité de le valider en
français ! Au diable : je transpose les caractères en ajoutant un
transparent sur le clavier pour ne pas trop galérer. Je constaterai par la
suite que lorsque l’affichage est graphique : le clavier est ‘US’ et
lorsque je suis en affichage console, le clavier est ‘FR’…(pratique !)
La prise en main s’avère amusante. A l’aide des infos
piquées sur le web, on peut rapidement faire joujou, et programmer quelques
petits programmes à l’aide de logiciels comme ‘Python’ ‘Scratch’ et langage ‘C’. La liaison internet est
opérationnelle et permet de faire quelques mises à jour.
Mon premier but est de faire communiquer le RPI avec
l’ARDUINO.
For de mon expérience I2C sur l’Arduino, les 2 modules
dialogueront avec ce protocole disponible également sur le RPI.
Oui, mais les signaux du RPI sont en 3,3v et ceux de
l’Arduino en 5v. Il faut donc adapter.
Premiers bidouillages, et premiers échecs (normal) La
solution viendra d’un composant ‘Logic
Level Converter’ provenant de chez ‘Sparkfun’.
Mais côté logiciel ce n’est pas gagné !
Il a d’abord été nécessaire de recharger une nouvelle version
de l’OS , puis de modifier certains paramètres dans le système. Que de bonheur
quand ça fonctionne comme prévu.
En clair ça veut dire que la liaison I2C est validée entre le RPI (le maître) et
-
avec l’Arduino : adresse 15,
-
avec le compas : adresse 58
-
et avec la carte contrôle des moteurs : adresse 60
Il n’y a plus qu’à programmer….
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